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Revue de presse 2014 de l'association Halte au Pillage du Patrimoine Archéologique et Historique

15 décembre 2014

L'Oeil : Panique autour du Trésor des Atrébates

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9 août 2014

Ouest France : Le pillage archéologique lui coûte 197 235 euros

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6 août 2014

La Marne : Chasse aux trésors, l'eldorado

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13 mai 2014

L'Indépendant Catalan : Quand le patrimoine régional vole en éclats sur Internet

Indépendant

23 mars 2014

Le Républicain lorrain : Les pillards de l’Histoire dans le collimateur le Républicain Lorrain

Républicain

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12 mars 2014

Gazette du Comminges : Vigilance face aux pilleurs archéologiques

Gazette

27 février 2014

France 3 : Les détectoristes de métaux dans le collimateur d'une association contre le pillage des sites archéologiques

10 février 2014

L'association nationale "Halte au pillage du Patrimoine Archéologique et Historique" vient de se réunir dans les Deux-Sèvres. Cette association a été créée en 2007 pour faire face à la montée des pillages, du trafic des objets et de la dégradation des sites.

  • Par Christine Hinckel
Le site gallo-romain de Rom dans les Deux-Sèvres © FTV
© FTV Le site gallo-romain de Rom dans les Deux-Sèvres

L'assemblée s'est tenue à Rom, une petite commune des Deux-Sèvres dont le site des vestiges de gallo-romain a été pillé par deux fois, une première fois en 2011 et une autre il y a un mois. A chaque fois des objets sont déplacés ou volés et le site saccagé.
Les responsables de l'association et les archéologues visent tout particulièrement les détectoristes de métaux qui conservent et souvent revendent  les objets qu'ils découvrent grâce à leur détecteur. De véritables réseaux de revente sur internet se sont créés.
Alors qu'en cas d'utilisation de cet appareil, tous les objets découverts, trésors ou pas, appartiennent au propriétaire du terrain ou doivent être remis aux autorités en charge du patrimoine. 
Un détail qui a toute son importance, la plupart du temps, ces amateurs sont hors la loi peut-être parfois sans le savoir. Car , l'utilisation d'un détecteur doit être autorisée par la préfecture et répondre à une démarche scientifique et archéologique.
Enfin, sachez que la vente ou le recel de biens archéologiques sont des délits, punis par des amendes et de la prison.
Selon l'association, en France, 500 000 objets archéologiques disparaissent tous les ans.


Plus d'informations dans le reportage de Marie-Noëlle Missud et Thomas Chapuzot

Le président de l'association HAPPAH, Jean-David DesforgesVoir la vidéo
La lutte contre le pillage des sites archéologiques
Reportage de Marie-Noëlle Missud et Thomas Chapuzot
Liens :
http://poitou-charentes.france3.fr/2014/02/10/les-detectoristes-de-metaux-dans-le-collimateur-d-une-association-contre-le-pillage-des-sites-archeologiques-412299.html
27 février 2014

Détection de métaux : attention terrain miné

17 février 2014



Sur internet, des utilisateurs de détecteurs de métaux (UDM) filment leurs campagnes puis mettent en ligne leurs trouvailles.
La bataille fait rage dans nos colonnes entre les prospecteurs de loisirs et les archéologues, sur le sujet – explosif – des détecteurs de métaux.

Association Halte au pillage du patrimoine archéologique et historique (HAPPAH) contre utilisateurs de détecteurs de métaux (UDM), acte III. Ce n'est certainement pas dans les colonnes de la NR que ces deux camps parviendront à trouver un terrain d'entente.
Après le coup de gueule (NR du dimanche 9 février) poussé par Ludovic Malécot, directeur du musée du Rauranum à Rom et membre de l'association HAPPAH contre les prospecteurs de loisirs, ces derniers se sont défendus par l'intermédiaire de Renaud Gouilly, membre de l'association nationale de la détection de loisirs (ANDL). C'était dans la NR du mercredi 12 février.


" Chaque artefact a son importance "


Jean-David Desforges, président de l'HAPPAH, souhaite à son tour répondre aux propos tenus par les « détectoristes », qu'il assimile à des « pillards » : « Dire que les objets qu'ils découvrent n'intéressent personne est absolument faux car ils captent au moins l'attention de ceux qui les trouvent. En effet, prospecter, c'est chercher. Chaque artefact découvert, du plus " pourri " au plus " beau ", revêt une importance. » « Si M. Gouilly, comme il le raconte, montre et fait enregistrer ses trouvailles par un archéologue, c'est bien qu'elles ont un intérêt ! », ajoute le président de l'HAPPAH, avant de rappeler que « la non-déclaration d'une découverte auprès des services de l'État est punissable de 1.500 € d'amende ».


Le modèle anglais – où toute découverte d'UDM doit être déclarée officiellement –, prôné par les prospecteurs de loisirs ? « En 2013, 900.000 artefacts et 100 trésors ont été sauvés et déclarés par les Anglais », argumente Renaud Gouilly. « Les archéologues d'outre-Manche sont à saturation du comportement des détectoristes », balaye de son côté Jean-David Desforges. « Moi aussi, je fais de la détection, réagit à son tour Pascal, qui se refuse à tout angélisme concernant cette activité. On cherche tous la nature, bien sûr, mais on cherche aussi le bel objet et peu importe l'époque. Sur les forums de détection, les collègues montrent leurs belles trouvailles. Le passé n'appartient pas qu'aux archéologues. »


" Avec tout ce qu'ils ont dans les musées… "


« Nous aussi, on a le droit de trouver à la billebaude des objets anciens, poursuit notre lecteur. Avec tout ce qu'ils ont dans les musées, on peut bien avoir le droit de chercher un peu de fibules et de monnaies. Dans d'autres associations, on veut bien travailler avec les archéos. Arrêtons ce genre de discours afin que l'on prenne enfin au sérieux la détection de loisirs. »

Liens :

http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Communautes-NR/n/Contenus/Articles/2014/02/17/Detection-de-metaux-attention-terrain-mine-1798657

27 février 2014

Communiqué HAPPAH suite aux propos contradictoires et irresponsables de M. Gouilly (ANDL)

Compte tenu de l'article paru dans les colonnes de la NR ce mercredi 12 février (http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Communautes-NR/n/Contenus/Articles/2014/02/12/Detection-de-metaux-Pas-tous-des-pilleurs-1792482=), des précisions sont nécessaires.


Quoiqu'en disent les "détectoristes", l'utilisation d'un détecteur de métaux à des fins de recherches d'objets pouvant intéresser l'art (soit tout objet fabriqué par l'homme), l'histoire la préhistoire et l'archéologie est interdite sans autorisation préfectorale.

Dire que les objets découverts par les "prospecteurs de loisir" n'intéressent personne est absolument faux car ils captent au moins l'attention de ceux qui les trouvent. En effet, prospecter, c'est chercher. 

Chaque artefact découvert, du plus "pourri" au plus "beau" revêt une importance. Si M. Gouilly, comme il le raconte, montre et fait enregistrer ses trouvailles par un archéologue, c'est bien qu'elles ont un intérêt ! L'association HAPPAH souligne que M. Gouilly déclare ne pas informer les services de l'Etat de ses découvertes car il se sait parfaitement susceptible de poursuites pour utilisation illégale de son détecteur, fouille sans autorisation et destruction ou détérioration d'objets archéologiques. Cette non déclaration est d'ailleurs punissable de 1500 euros d'amende art. L 531-14 du Code du Patrimoine. Nous précisons aussi que l'archéologue en question pratique le recel scientifique qui est un véritable problème car il crée des informations toxiques (pas de date, pas de provenance, etc.) donc fabrique des sources d'erreur pour les scientifiques.

Tous les jours, nous lisons sur Internet que des personnes qui se rendent sur des sites archéologiques gravitent autour de l'association de M. Gouilly. Les objets archéologiques qu'ils y prennent en sont les indices ! Ils n'ont aucun scrupule non plus à vendre sur internet ou dans des bourses les objets découverts. Nous rappelons aussi à M. Gouilly que le premier président de son association est en attente de son procès suite à une interpellation sur un site archéologique.

Cherchons la signification du patrimoine commun lorsqu'on nous parle de collections personnelles ou du plaisir de prospecter la nuit !

Quant à l'idée d'un modèle anglais en matière de gestion de l'usage des détecteurs de métaux, il se trouve que les archéologues d'Outre-Manche sont à saturation du comportement des détectoristes. La police n'a jamais de difficultés à retrouver les pilleurs : ils sont dans les rangs des associations homologues de l'ANDL.

La prospection de loisir est l'autre nom du pillage archéologique.

26 février 2014

Mon Quotidien : Stop au vol d'objets archéologiques

Janvier 2014

Mon Quotidien

 

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